Les Bleus

Ma vidéo en hommage aux Bleus :

https://www.dailymotion.com/Gwenou-Bambi/video/xw7kn_les-bleus-de-1998-a-2006

houla Gwennaelle superbe vidéo !!!

alors je vais te dire franchement a part un match que je suis allée voir en 98 pour la coupe du monde a Nantes ... je ne suis pas une fanatique mais superbe ambiance ...et je suis l'actu ....

t'as vidéo se regarde tres bien du moins pour moi ...et la transition de ta musique quand c'est triste on va dire te saisie et tu regardes encore plus...... !!! donc oui tu as su faire ressortir les sentiments c'est rare dans une vidéo... et ton texte et super bien ...

merci et Bon Réveillon

isa

merci à toi isa !
c'est vrai que je me suis beaucoup impliquée pour les textes parce que j'ai vécu cette CDM à fond étant donné que c'était la dernière de Zizou...
ce que tu as écris est très gentil...merci encore !

Bonne Année à tous !!

Quote :

Durant les mois qui précédèrent la CDM, Raymond Domenech répéta, sourire en coin, à qui voulait l'entendre, ce qui sonnait comme son mantra personnel :
"Rendez-vous le 9 Juillet."
Au soir de la finale, il regretta finalement de ne pas avoir ajouté à sa prophétie :
"Rendez-vous le 9 Juillet à 23h00...avec la coupe."
Qui sait ?Ca aurait peut-être marché...
C'est l'histoire de ce rendez-vous, à la fois honoré et manqué, que retrace ce document de 90 minutes proposé par le service football Canal+ dirigé par Stéphane Guy.
Les principaux protagonistes de l'aventure, interrogés par Antoine Leroy et Vincent Alix, commentent les moments clés du parcours des Bleus.
Lilian Thuram, Patrick Vieira, Thierry Henry, Florent Malouda, entre autres, et bien sûr, Zinedine Zidane, racontent leur CDM et proposent de nouveaux éclairages sur cette épopée allemande en sept étapes : Suisse, Corée du Sud, Togo, Espagne, Brésil, Portugal et Italie.
Pour chaque rencontre, un ou deux membres de l'équipe adverse sont aussi invités à livrer leurs sentiments.
On entendra ainsi par, exemple, le Suisse Patrick Müller, le Brésilien Ronaldo ou les Italiens Fabio Cannavaro [...], et Gianluigi Buffon donner leur version des faits et évoquer d'autres émotions...
"On vit ensemble, on meurt ensemble.", tel était le leimotiv (plus ou moins secret) de l'équipe de France en ce début d'été 2006.
Une Equipe de France venue mourir, finalement, sur les talons d'une Squadra Azzura exacte au plus grand rendez-vous de football de la planète.

Rediffusion : Dimanche 7 Janvier à 23h00 sur Canal+ SPORT

Magnifique reportage !!!
En tout cas, moi, je l'ai trouvé génial !!!!!

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Trezeguet a failli arrêter...

David Trezeguet a déclaré qu'il avait pensé prendre sa retraite internationale après la finale du Mondial 2006 perdue contre l'Italie pour un tir au but expédié sur la transversale. "Trezegol" a expliqué à France Football qu'il n'avait "pas la confiance" du sélectionneur.

"La nuit qui a suivi la finale, je voulais arrêter (les Bleus). Parce que je n'ai pas connu la confiance de Raymond (Domenech).
Je n'étais pas dans sa tête", a expliqué au bi-hebdomadaire l'attaquant qui revient après un forfait de plus d'un mois (élongation).
"J'arrive encore (au Mondial) avec le titre de champion d'Italie, avec 23 buts marqués en championnat, et je reste sur le banc...", a regretté Trezeguet, auteur de 34 buts en 68 sélections, champion du monde 1998 et d'Europe 2000.
"Après le Mondial, on a discuté. Domenech connaît mon opinion envers lui et il sait comment il s'est comporté avec moi" , a poursuivi le joueur de la Juventus Turin. "Cependant c'est lui le patron.
C'est à moi de m'adapter. (...) Je reste à la disposition de Domenech".

"Pas la confiance de Domenech"

"Le soutien de sa famille" l'a fait changer d'avis, mais aussi "l'amour de la France", manifesté notamment lors de la présentation des joueurs au balcon de l'hôtel Crillon, à Paris, le lendemain de la finale perdue. Trezeguet, brisé par son tir au but raté, avait pleuré. Les longs applaudissements du public montraient qu'il n'en voulait pas au buteur.
"Ils m'ont fait comprendre qu'on jouait avant tout pour tous ces gens", a-t-il expliqué.
Trezeguet est également revenu sur la polémique qui avait suivi sa pâle prestation en Ecosse (0-1) en octobre, en qualification à l'Euro-2008, où il n'avait presque pas touché le ballon.
"Pour moi, quelqu'un qui marque autant en équipe nationale a fait ses preuves", martèle-t-il.

Il a rappelé qu'on lui avait imposé de rester à la Juve, malgré la rétrogradation en 2e division à cause de l'affaire des matches truqués. Mais Trezeguet ne regrette pas.
"Je veux marquer l'histoire du club", a-t-il expliqué.
Enfin, ce joueur d'origine argentine est revenu sur l'affaire Gonzalo Higuain, du nom de ce joueur de River Plate né en France - donc français - qui a manifesté son intérêt pour le maillot bleu mais n'a pas répondu à une première convocation de Domenech en novembre.
"Je comprends Higuain, un maillot, il faut le sentir", a estimé Trezeguet, regrettant que la Fédération française se soit contenté d'envoyer un fax plutôt que d'aller voir le joueur en Argentine.

Source : eurosport.fr

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Jacquet tourne la page...

Aimé Jacquet, ex-patron des champions du monde, a tiré un trait définitif le 31 décembre sur sa carrière en quittant son poste de directeur technique national.
L'épilogue du parcours d'un homme qui aura voué son existence au terrain avant de connaître la consécration suprême en 1998.

Au terme de 46 années passées dans le monde du football où il aura exercé tous les métiers (joueur, entraîneur, dirigeant) en collectionnant à chaque fois les honneurs, une seule image restera à jamais :
Aimé Jacquet porté en triomphe par les joueurs de l'équipe de France en brandissant la Coupe du monde, le 12 juillet 1998 au Stade de France. Décrié, honni avant le début de l'épreuve, Jacquet prenait alors sa revanche sur ceux, nombreux, qui avaient douté de sa capacité à mener les Bleus sur la plus haute marche du podium.

Quand personne n'osait parier sur les chances françaises, le sélectionneur y a toujours cru dur comme fer après avoir préparé et planifié au détail près la montée en puissance d'une troupe bâtie autour de Zinédine Zidane aux dépens du duo Papin-Cantona.
Arrivé sur un champ de ruines, fin 1993, au lendemain de l'humiliation subie au Parc des Princes face à la Bulgarie (2-1) qui privait la France du Mondial 94, Jacquet est parti en laissant entre les mains de ses successeurs une équipe et une génération de rêve avant de prendre en main la Direction technique nationale au lieu de monnayer ses talents à l'étranger.

Boucler la boucle

Même si les dossiers et l'administratif ne l'ont jamais attiré, ce serviteur du football s'est attelé à la tâche, dans son style tout en discrétion, sans bouleverser le fonctionnement de la FFF en s'inscrivant dans la continuité du travail du pionnier Georges Boulogne, en poste de 1970 à 1982.
Avec un accent particulier mis sur la formation, pilier du système français et de sa réussite, et le football féminin dont il s'est fait le plus fervent et ardent défenseur.
Une manière de boucler la boucle en beauté pour Aimé Jacquet qui a effectué son apprentissage du football à Saint-Etienne.

Milieu défensif de devoir chez les Verts (1960-1973) et à Lyon (1973-1975), sans qualité technique particulière, il se distingue surtout par son énorme abattage et son dévouement pour le collectif.
C'est alors l'occasion pour lui de se constituer un solide palmarès (5 titres de champion, deux Coupes de France), de goûter à l'équipe de France (2 sélections) mais surtout d'apprendre les ficelles du métier d'entraîneur aux côtés de Jean Snella.
Rigueur, obsession du haut niveau et culte de la victoire, les valeurs qui l'ont accompagné lors de ses passages en tant que technicien à Lyon, Bordeaux, Montpellier et Nancy sont déjà intégrées.

C'est en Gironde que Jacquet se fait un nom à la tête de l'armada bordelaise montée par le président Claude Bez qui a dominé le football français à la fin des années 1980 (champion de France en 1984, 1985, 1987, Coupe de France 1986 et 1987).
Ses deux échecs à Montpellier et Nancy le font basculer dans le giron fédéral où il attendra sagement son heure dans l'ombre de Gérard Houllier avant de monter en première ligne.
La seule fausse note de sa carrière aura été la mauvaise gestion du cas des six recalés de la liste des 22 pour le Mondial-98.
L'épisode avait, à l'époque, alimenté les critiques et creusé le fossé entre l'opinion et le sélectionneur. La victoire face au Brésil (3-0) en finale a réconcilié pour de bon tout un pays avec son équipe nationale et modifié pour de bon et à jamais l'image d'Aimé Jacquet.

Source : eurosport.fr

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Le retour de Barthez en Bleu ?

A peine sorti de sa retraite par Nantes, Fabien Barthez a rappelé son attachement au maillot bleu. S'il était de retour en équipe de France pour laquelle il est déjà "candidat", le gardien pourrait faire des victimes collatérales, qu'elles se nomment Coupet ou Landreau. Raymond Domenech doit-il le rappeler ? La place de N°1 de Grégory Coupet est-elle menacée ?

Voilà une petite discussion sur le forum d'eurosport.fr à ce sujet :

Cliquez ici !

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Espagne-France, match de l'année 2006 !

Vous avez été plus de 45.200 à voter sur http://fff.fr durant le mois de décembre pour élire le "match de l'année 2006" de l'Equipe de France. C'est le huitième de finale de la Coupe du Monde contre l'Espagne (3-1) que vous avez plébiscité.
Ce match recueille 37% des suffrages exprimés. La lutte a été serrée jusqu'au bout pour départager Espagne-France, finalement vainqueur, de Brésil-France (quart de finale, 0-1) en faveur duquel 31% des internautes ont voté.

Viennent ensuite dans l'ordre : la demi-finale (1-0) contre le Portugal (13%), le match des éliminatoires de l'Euro 2008 contre l'Italie (3-1) en septembre (3%), France-Togo 2-0 (2%) et la finale de la Coupe du Monde (2%). Décidément, seule la victoire est belle...

13% des internautes ont choisi une autre rencontre que celles qui étaient proposées au vote.

Rappel :




Le cas Gonzalo Higuain :

Dans quel camp sera-t-il ???
Pas de nouvelles pour l'instant...

--> Photos des évènements de l'association

Cette association contre les leucodystrophies est parrainée par Zinedine Zidane, d'autres nombreux sportifs et d'artistes...
--> Photos des parrains

Quote :

Le terme de leucodystrophie se rapporte à un groupe de maladies d'origine génétique affectant la myéline du système nerveux central.
La myéline constitue la substance blanche du cerveau et de la moelle épinière.
Elle enveloppe la fibre nerveuse à la manière d'un câble électrique : c'est elle qui permet la bonne conduction des messages nerveux.
Dans les leucodystrophies, cette myéline peut avoir des problèmes pour se former ou pour se maintenir.
Parfois, on remarque au contraire une hypermyélinisation.

En France, les leucodystrophies concernent cent soixante naissances par an (trois par semaine).

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Higuain refuse les Bleus

Le sélectionneur de l'équipe de France, Raymond Domenech, a annoncé vendredi que l'attaquant du Real Madrid, Gonzalo Higuain, né de parents argentins en France, et qui possède un passeport français, avait définitivement refusé de jouer pour les Bleus.

"Après une discussion avec lui, son père, et avoir vu Fabio Capello (entraîneur du Real Madrid) aujourd'hui (vendredi) à Madrid, il m'a clairement annoncé, officiellement, qu'il avait choisi la nationalité argentine et que son père avait effectué les démarches pour qu'il obtienne la nationalité argentine", a expliqué Domenech.

"Il a dit qu'il était Argentin, que toute sa famille, ses amis, étaient là-bas (en Argentine), il a toujours vécu là-bas et qu'il ne se sentait pas Français", a ajouté le sélectionneur. "On a eu une vraie explication, a affirmé Raymond Domenech. Je ne vais pas me battre avec lui. A partir d'aujourd'hui, le problème est réglé et le maillot qu'il veut porter est argentin."

Source : eurosport.fr

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Ribéry : "Une drogue"

Avant d'affronter l'Argentine, mercredi, Franck Ribéry confie son plaisir intact de retrouver les Bleus. Absent face à la Grèce (1-0), le Marseillais est en train de retrouver son meilleur niveau. Il espère d'ailleurs que son duo avec Djibril Cissé fonctionnera aussi bien qu'à l'OM.

FRANCK RIBERY, vous étiez absent face à la Grèce (1-0). Que représente pour vous ce retour en équipe de France ?

F.R. : L'équipe de France est très importante pour moi. Je dois être performant dans mon club. A chaque sélection, je croise les doigts pour être dans la liste. J'attends ça avec impatience à chaque fois, comme lors de ma première sélection. Après chaque annonce, je vais voir sur internet et j'essaie de me renseigner pour savoir si j'y suis. C'est une drogue. Je suis français et je me dois de représenter l'équipe de France. Je me dois d'être toujours au top. Le maillot bleu, ce n'est pas n'importe quel maillot. C'est une image très forte. Donc je viens toujours avec la même motivation, la même envie. De mon côté, je sais qu'il n'y a aucun relâchement.

Qu'attendez-vous de ce match amical face à l'Argentine ?

F.R. : Quand on joue en équipe de France, il n'y a pas de matches amicaux. Ce sera un très bon match avec deux bonnes équipes sur le terrain. Ce sera également important pour la suite en vue des qualifications. Il faudra faire le maximum et, si on peut gagner, ce sera bon pour la confiance.

Quelle image avez-vous de cette équipe argentine ?

F.R. : C'est une grande équipe. La plupart des joueurs évolue dans les plus grands clubs. Et quand on parle de l'Argentine, on pense tout de suite à Diego Maradona. Il faut partie des plus grands joueurs de tous les temps.

Physiquement, comment vous sentez-vous ?

F.R. : Je me sens mieux. Avant ma blessure, j'avais connu un mois d'octobre difficile, à l'image de toute l'équipe qui a traversé un passage à vide. J'avais besoin de couper, que ce soit au niveau footballistique ou mental. Depuis la trêve, je me sens bien. Ça m'a fait du bien de retrouver le terrain et il faut que je continue comme ça. Au niveau de ma blessure, je ne ressens plus rien. Ça va de mieux en mieux.

En équipe de France, vous allez retrouver Djibril Cissé. Comment jugez-vous votre association à l'OM ?

F.R. : Ça me fait déjà plaisir que l'on soit tous les deux sélectionnés. On joue tous les deux ensemble, on passe beaucoup de temps ensemble pendant et même après les entraînements... On se connaît de mieux en mieux. On peut toujours progresser et apprendre l'un de l'autre. C'est ce qu'on essaie de faire. Moi, je suis un joueur qui aime prendre le ballon et aller de l'avant. Et devant moi, c'est Djibril en position d'attaquant de pointe. J'essaie de le trouver assez rapidement. Son jeu consiste à prendre un appui et à redemander le ballon vers l'avant pour qu'on le trouve en profondeur. On peut aussi le trouver dans l'axe en passant par les côtés. Mais on a encore beaucoup de choses à améliorer.

Tactiquement, pouvez-vous reprendre la place laissée par Zinedine Zidane dans l'axe ?

F.R. : Ça dépend. Parfois je me sens mieux sur un côté, d'autres fois je me sens mieux dans l'axe. Ça dépend de l'adversaire et d'autres paramètres. Cela dit, c'est vrai que je me sens un peu plus libéré dans l'axe. Je peux jouer un peu partout, je peux décrocher pour aller chercher le ballon, je peux jouer haut... Je suis libre quand on a le ballon. Ensuite, à la perte du ballon, il faut que je me replace défensivement derrière l'attaquant. Mais je jouerai là où me positionne le sélectionneur. A moi de répondre présent.

Comment jugez-vous votre prestation face au PSG (1-1), dimanche ?

F.R. : Pour moi, ce n'était pas facile. Il y avait beaucoup de monde au milieu. C'est une équipe qui défendait très bien. Mais je me suis senti bien physiquement. J'avais du jus, de l'envie... mais il y a des matches où j'ai été meilleur. On ne peut pas toujours réussir ce que l'on tente. Il y aura des matches où ça ira mieux.

C'était un match assez tendu...

F.R. : Ça n'était pas un match facile. On est tombé sur une très bonne équipe de Paris. Beaucoup de choses ont été dites sur le PSG. On a notamment dit qu'ils étaient dans le trou mais je peux vous dire franchement que c'est une très bonne équipe, il y a des joueurs de qualité. Ils sont venus pour prendre un point et ils ont réussi. Comme par hasard, Pauleta n'avait pas marqué depuis quelques matches et il marque contre Marseille. Mais je suis content pour lui parce que ça n'a pas du être évident pour lui ces derniers temps. Mais le plus important, c'est que l'on n'ait pas perdu.

Le match contre Bordeaux devient-il encore plus important ?

F.R. : Oui, il devient encore plus important car on est à trois points de Lille et quatre de Lens. Bordeaux n'est pas trop loin de nous. Il faudra aller chercher les points qu'on a perdus contre Paris à domicile pour pouvoir espérer la Ligue des Champions.

On évoque déjà votre départ de l'OM l'été prochain. Qu'en est-il ?

F.R. : Pour l'instant, je laisse tout ça de côté. Vous savez, j'ai connu un passage assez difficile après la Coupe du monde où j'ai été assez perturbé. Beaucoup de choses se sont passées. J'avais plusieurs contacts et je ne savais plus trop où j'en étais. On peut dire que j'avais la tête à l'ouest. Ensuite, j'ai tout fait pour rester à l'OM et je suis très content d'être resté. Mon objectif, c'est d'obtenir la qualification pour la Ligue des Champions en fin de saison. Après, on verra bien.

Source : eurosport.fr

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Un duo Henry-Trezeguet

Face à l'Argentine, mercredi, Raymond Domenech a décidé d'associer Thierry Henry et David Trezeguet en attaque. En défense, le sélectionneur a opté pour une charnière centrale inédite Squillaci-Escudé.

C'est un véritable chantier qui attend Raymond Domenech face à l'Argentine. Après William Gallas, Jean-Alain Boumsong et Philippe Mexès, la longue liste des forfaits est venue s'allonger mardi avec ceux de Jérémy Toulalan et sans doute Lilian Thuram. Le milieu de terrain lyonnais, touché contre Troyes le week-end dernier, souffre d'une lésion à une cuisse. "Avec Jérémy, je ne prendrai pas de risque, on le laissera au repos, il y a d'autres échéances pour lui (en club à Lyon), on ne va pas essayer pour voir" , a précisé le sélectionneur qui avait déjà appelé Mathieu Flamini en renfort lundi soir.

Squillaci-Escudé en défense

Ce dernier a ajouté que Thierry Henry avait reçu ce week-end un "coup sur une cheville" et qu'il avait "préféré rester au chaud" et ne pas s'entraîner lundi soir (bien lundi). Mais ce petit coup n'inquiète pas le technicien français qui alignera le Gunner aux côtés de David Trezeguet, l'Argentin des Bleus. Il a insi préféré le Turinois à Djibril Cissé, qui n'avait plus joué depuis le 7 juin et sa terrible fracture tibia-péroné. Le Marseillais avait de toute façon dit qu'il considérait Henry et Trezeguet au-dessus de tous les autres dans la hiérarchie des attaquants des Bleus. "Si je suis titulaire, tant mieux, sinon, je serais patient" , avait-il ainsi indiqué. Trezeguet, lui, né à Rouen de parents argentins, salivait évidemment à l'idée de jouer ce match: "Ca fait des mois que j'en rêve."

Côté défense, Domenech a dû trancher. Lilian Thuram, victime d'une contracture tenace à un mollet, devrait comme prévu regarder le match dans les tribunes du Stade de France. "Apparemment, Lilian ne jouera pas, sauf miracle", a expliqué le sélectionneur. L'encadrement des Bleus attend encore quelques heures pour se prononcer sur le cas d'Eric Abidal (touché aux côtes). En revanche, le Sébastien Squillaci, qui connaissait lui aussi quelques soucis physiques, semble remis. "Pour Sébastien, le miracle a eu lieu (lundi, premier jour du rassemblement des Bleus)", a souligné Domenech. Mais ce dernier a préféré opter pour une association avec Julien Escudé, sacrifiant la charnière Givet-Squillaci qu'il avait utiliseé au début de la campagne de qualification pour le Mondial 2006.

LE ONZE DE DEPART :

Coupet - Sagnol, Squillaci, Escudé, Abidal - Ribéry, Vieira (cap.), Makelele, Malouda - Henry, Trezeguet

Source : eurosport.fr

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Domenech : "Je n’idéalise pas"

Domenech ne voit pas le France-Argentine de ce soir comme un match de rêve mais plutôt comme un point de passage vers 2008 et le Championnat d'Europe. Même s’il sera privé d’une partie de ses titulaires habituels en défense, le sélectionneur national fait contre mauvaise fortune, bon coeur.

RAYMOND DOMENECH, vous commencez l'année 2007 par une rencontre de prestige face à l'Argentine. Ç'aurait été une finale de rêve lors de la dernière Coupe du monde ?

R. D. : Je rêvais d'une victoire de l'équipe de France contre le Brésil, l'Argentine ou l'Italie... Mon seul rêve était de gagner la Coupe du monde. Il est vrai que j'avais parié sur une finale face aux Argentins mais les Allemands ont contrecarré mon pronostic (nldr : L'Allemagne a éliminé l'Argentine en quarts de finale).

L'Argentine, c'est tout de même un adversaire de rêve ?

R. D. : Non, je ne vois pas ce match comme cela. Je ne l'idéalise pas. Ce match amical s'inscrit dans un parcours bien précis. Le but de cette rencontre face à l'Argentine est de mobiliser les joueurs. Pour ce faire, il est bien de jouer face à une bonne équipe, dans un stade qui sera à guichets fermés. A nous d'en faire quelque chose de bien pour préparer la rencontre en Lituanie.

Vous dites compter sur cette rencontre pour préparer le premier match qualificatif de l'année en Lituanie (24 mars). Mais il est ennuyeux de devoir jouer avec une défense remaniée puisque Lilian Thuram et William Gallas sont sur le flanc ?

R. D. : Il faut s'adapter à la situation. C'est le lot de toutes les sélections. Il n'y a rien de figé en équipe de France, aucun poste. De plus, au mois de mars on ne sait pas ce qui se passera. C'est bien aussi de tester d'autres formules. On se prépare à tout. Les joueurs alignés face à l'Argentine seront peut-être la solution face à la Lituanie. Mais ce sera à eux de le montrer. Ils ont une chance. A eux de la saisir.

Sébastien Squillaci, qui n'a pas joué dimanche avec Lyon, était incertain. Il sera pourtant titulaire mercredi...

R. D. : Pour Sébastien, il y a normalement aucun risque. On a bien géré son cas et il y a eu un miracle lundi. Pour d'autres, comme Jérémy Toulalan, je ne prendrai pas de risque, on le laissera au repos, il y a d'autres échéances pour lui. On ne va pas essayer juste pour voir.

En revanche, vous disposez de nombreux attaquants. Faut-il voir un message pour la suite dans le choix des titulaires (Henry et Trezeguet) ?

R. D. : Non, je voulais simplement rassembler le groupe à l'occasion de ce premier rendez-vous de l'année. Mon choix de mercredi n'aura aucune incidence particulière pour le moment. Je ne fais pas encore de calcul.

Lundi soir lors de l'entraînement, on vous a vu longuement discuter avec Grégory Coupet. Vous aviez des choses à vous dire ?

R. D. : J'ai toujours beaucoup discuté avec Greg. Lundi, j'ai également parlé avec Gaël Givet et d'autres. Ça fait partie de la fonction de sélectionneur national. Ecouter est également important. On a tous des choses à dire. Moi, je dois mobiliser tout le monde vers un objectif : aller en Suisse et en Autriche en 2008.

Un petit mot encore sur Grégory Coupet. Vous le sentez serein actuellement ? A-t-il digéré la Coupe du monde 2006 ?

R. D. : Je ne sais pas. La vie est faite de moments différents. Il se passe des choses, on les enregistre, on les digère, on ne s'arrête pas. Surtout dans le football, la remise en question est permanente. Il faut toujours se tourner vers l'avant.

C'est l'occasion de faire une parenthèse sur l'OL. Êtes-vous inquiet pour les Lyonnais ? Leur coup de mou peut-il avoir des conséquences sur l'équipe de France ?

R. D. : Je ne suis pas du tout inquiet pour eux. L'Olympique Lyonnais a simplement un coup de moins bien. Pour ce qui est d'éventuelles répercutions, je n'y crois pas. L'équipe de France, c'est autre chose. La motivation est supérieure chez les Bleus. Leur mauvaise passe, c'est peut-être une forme de déconcentration. Et puis, ils ont toujours onze points d'avance en championnat. Maintenant, il leur faut de l'exceptionnel : la Ligue des Champions et l'équipe de France.

Les Argentins restent sur deux revers en Espagne et face au Brésil dernièrement. Craignez-vous qu'ils durcissent le jeu ?

R. D. : Il n'y a rien d'infamant à perdre en Espagne et contre le Brésil. Ils jouent contre les meilleures équipes du monde. Ce n'est pas une équipe qui joue plus dur que beaucoup d'autres. Ce sont plus leurs qualités de footballeurs qui me posent problème. Je garde en tête le but qu'ils avaient marqué contre la Serbie-Monténégro durant la dernière Coupe du monde. Une vingtaine de passes, une talonnade dans la surface : ça reste gravé dans ma mémoire

Source : eurosport.fr

VIVE la FRANCE

Ttttsssss Cocotte !!!!!!

Bon, je mettrai le résumé demain...

Sur ce, un élan de patriotisme :

ALLEZ LES BLEUS !!!

Résumé du match :

Arbitre : D.Skomina
Météo : Froid, 3°C
Spectateurs : 62000
Stade : Stade de France

1ere minute : Les Bleus donnent le coup d'envoi de ce match amical et dominent dès les premières secondes...
2eme minute : Accélération d'Henry mais l'attaquant d'Arsenal est fréné par une faute sur Vieira dans la surface de réparation ! L'arbitre ne bronche pas...
4eme minute : Les Bleus sont en grande forme et les Argentins touchent à peine la balle...
9eme minute : Grosse concentration de l'Equipe de France dans la moitié de terrain argentine mais rien ne se passe...
10eme minute : Saviola frappe mais ça part au-dessus...
11eme minute : Premier corner pour les Français tiré par Malouda mais le portier argentin sort des poings...
12eme minute : Ribéry sert Malouda mais la balle passe légèrement à côté...
15eme minute : But ! Saviola exécute une belle talonnade pour Crespo qui tire mais Coupet est à la parade. Saviola retente et le cuir rentre au fond...La France est menée 1 à 0 !
19eme minute : Carton jaune pour Ayala, le capitaine argentin, pour contestation contre un coup franc français évident. Ribéry le tire mais c'est trop court pour atteindre Henry...
20eme minute : Les hommes de Domenech ont la rage de vaincre et multiplient les occasions...Malheureusement, ça ne se concrétise pas...
22eme minute : Centre de Malouda sur Ribéry qui frappe mais c'est à côté...
25eme minute : Possession de balle : France 53% - Argentine 47%
34eme minute : Ribéry centre pour Henry mais c'est contré...
37eme minute : Frappe de Crespo mais coupet se couche bien...
40eme minute : Trezeguet récupère un beau centre, tire et est contré. Henry arrive à la rescousse mais il est trop loin pour frapper...
42eme minute : Ouh, ça chauffe entre sagnol et Heinze. L'Argentin s'énerve contre le Français après avoir perdu la balle...Pour finir, les deux joueurs écopent d'un carton jaune...
44eme minute : L'arbitre accorde 1 minute de temps additionnel...
45eme minute : Coupet est obligé de saisir le cuir en-dehors de la surface après un gros pressing argentin...

Mi-Temps : La France s'est créée de bonnes occasions mais rien n'est fait, il faut rattraper !
Changements : Sagnol et Malouda laissent leurs places à Clerc et Govou. Franck Ribéry change de côté...

46eme minute : La seconde période démarre. L'Argentine ne touche pas un ballon. Grosse occasion pour la France mais Govou ne rattrape pas la balle...
48eme minute : Thierry Henry hésite avant de se lancer. Malheureusement, c'est trop tard et le centre file au-dessus des filets...
51eme minute : Coup franc pour l'Equipe de France mais c'est contré...
56eme minute : Crespo tire un missile et Coupet sort en corner...
57eme minute : Clerc centre pour Henry qui passe à Ribéry. Le Marseillais tire mais ça passe à quelques centimètres des buts...
59eme minute : Vieira centre pour Ribéry qui frappe mais c'est encore contré par la défense argentine...
60eme minute : C'est à Govou de centrer mais c'est directement sur le gardien argentin...
66eme minute : Corner frappé par Ribéry mais c'est trop fort...
71eme minute : Changement : Trézéguet, déçu de ne pas avoir marquer, est remplacé par Nicolas Anelka...
73eme minute : Joli une-deux entre Ribéry et Henry qui passe à Vieira mais c'est capté par Abbondanzieri...
78eme minute : Changements : Gonzalez et Crespo cèdent leurs places à Guttierez et Milito...
82eme minute : Changement : Aguero, celui qu'on surnomme le nouveau Maradona, prend la place de Saviola, buteur de la soirée...
88eme minute : Changement : Raymond Domenech joue son joker et fait rentrer Cissé sur le terrain. Il remplace Makélélé...
89eme minute : Milito et Anelka prennent un carton jaune chancun pour énervement dans la surface argentine...
90eme minute : L'arbitre accorde 4 minutes de temps additionnel...
90+4eme minute : C'est terminé ! Malgré les nombreuses occasions, la France s'incline devant l'Argentine 1 but à 0 !

Info+ : Lituanie - France le 24 mars !

Quote :

Trezeguet : "C'était fort"

Malgré la défaite et une prestation décevante, David Trezeguet gardera un souvenir impérissable de sa première rencontre face à l'Argentine (0-1). L'attaquant de la Juventus Turin attendait cela depuis toujours et, même s'il n'a pas été en vue, assure continuer à prendre du plaisir chez les Bleus.

DAVID TREZEGUET, on imagine que le scénario de mercredi face à l'Argentine n'a pas été celui dont vous rêviez ?

D. T. : En effet, c'est une déception par rapport à la défaite, même si je trouve qu'on a fait un bon match. On n'a pas été assez efficace. On n'a pas su trouver les solutions, on se trompait à chaque fois. Je crois qu'on n'a pas suffisamment écarté le jeu, on a trop insisté dans l'axe et trop balancé. En face, il y avait une équipe bien placée avec des joueurs de qualité. On a souffert. C'était un match difficile. Je trouve la défaite un peu lourde car on a quand même fait un bon match. C'est dommage qu'on n'ait pas su égaliser. On est tombé sur une équipe d'Argentine qui nous a posé beaucoup de problèmes, surtout au niveau défensif.

Cette première face à l'Argentine restera-t-elle tout de même un bon souvenir pour vous ?

D. T. : Le meilleur après le Mondial 1998 et l'Euro 2000. C'était le match que je voulais jouer. C'était beau, c'était même exceptionnel. C'était une rencontre particulière sur le plan émotionnel face à une équipe qui représente la moitié de ma vie et qui m'a tout donné. C'était fort. Ça m'a beaucoup touché. Je suis très fier d'avoir disputé un match de ce niveau. Surtout dans ma situation un peu particulière en club cette saison. Mais une fois que le match a commencé, j'ai mis tout ça de côté. Dommage qu'on ne soit pas parvenu à égaliser. J'aurais aimé que ça se termine d'une autre manière.

Vous prenez toujours du plaisir en équipe de France ?

D. T. : Oui, bien sûr. Comme tous les mes coéquipiers. Le match face à l'Argentine a été délicat pour tous. De toute façon, ça reste un match amical. Le match qu'il ne faut pas perdre, ce sera celui en Lituanie. D'ici là, il faut trouver les petits détails qui nous ont manqué ce soir. Après une défaite, il faut tout de suite essayer de relever la tête en nous concentrant sur ce match qu'il faudra gagner. Ce sera capital pour la suite de la qualification.

Comment jugez-vous votre prestation offensive des Bleus et votre association avec Thierry Henry ?

D. T. : Ça n'a pas été évident. On a voulu aller trop dans l'axe. En conclusion, on n'a pas eu une occasion en 90 minutes de jeu. En première période, je la touche avec la pointe. C'était un ballon très difficile. C'est pratiquement notre seule occasion. En revanche, notre adversaire a su profiter de la seule situation qu'ils ont eue et ils ont gagné. Il falloir régler ça. De toute façon, on est tous conscient d'avoir fait un bon match. Il va falloir essayer d'écarter davantage et peut-être d'aller un peu plus vite pour le match suivant.

Source : eurosport.fr

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Domenech : "On peut faire mieux"

Malgré la défaite face l'Argentine (0-1), Raymond Domenech a vu de l'envie et de la solidité chez les Bleus. Préférant positiver, le sélectionneur se montre même satisfait du duo Henry-Trezeguet et de sa défense inédite. Mais il avoue qu'il faudra faire mieux en Lituanie, le 24 mars.

RAYMOND DOMENECH, que retirez-vous de cette défaite face à l'Argentine (0-1) ?

R.D. : On ne peut pas être complètement satisfait d'une défaite. Mais, dans ce qu'on a montré, dans la solidité, dans l'organisation et le développement des offensives, c'était pas mal. Il faut toujours comparer par rapport à une opposition. J'ai retrouvé une forme de solidité et d'envie qui étaient très intéressantes. Mais il nous a manqué le dernier geste, la dernière passe, un peu de lucidité ou de sérénité aussi. Il y a eu des mauvais choix dans la dernière ou l'avant-dernière passe, ce qui fait que l'on n'a pas pu se mettre en position de marquer ou de se démarquer. J'ai vu des gestes techniques ratés qui ont fait que les ballons étaient trop longs ou trop courts...

Vous avez vraiment vu de l'envie ? On a parfois eu l'impression que l'équipe de France avait du mal à emballer le match...

R.D. : Vous savez quand même contre qui l'on a joué ? L'Argentine, c'est une belle équipe, bien qu'elle soit toujours un peu tricheuse, à l'image de Heinze. Mais Heinze on le connaît, il n'a pas changé. Ils ne laissent pas l'adversaire s'emballer. On l'a fait par séquences. Il y a eu cette occasion de Franck Ribéry en première période après un dédoublement. Ça s'est joué à pas grand-chose à ce moment là. Mais on peut faire mieux. C'est bien, ça permet de voir qu'il y a des choses à faire. C'était le but de ce genre d'opposition.

Le résultat ne vous inquiète donc pas ?

R.D. : C'est dommage qu'on n'ait pas concrétisé nos actions pour égaliser. On s'est battu, créé de bonnes situations. On a juste manqué de finition. Je l'avais dit avant : ça n'est qu'un match de préparation. Ce qui compte, c'est le résultat en Lituanie. Celui-là était important pour voir où en était les joueurs, se rassembler et essayer de montrer ce que l'on a montré sur le terrain, c'est-à-dire de la solidité et de l'envie. C'est ce que j'attendais et c'est ce que j'ai vu. Même si l'arbitre aurait pu nous aider un peu surtout sur la fin match...

Justement, en vue de ce déplacement en Lituanie, le 24 mars, quelles sont vos satisfactions ?

R.D. : On a vu qu'on sait rester solides, même contre une équipe de talent, et qu'on peut emballer le match. On a aussi su avoir une maîtrise du jeu par séquences. Je ne suis ni optimiste ni pessimiste pour la suite. Réponse fin mars. Il fallait montrer notre solidité. La Lituanie qu'on affrontera en mars, ce ne sera pas celle qu'on a vu mardi (battue 3-1 par le Mali). Il y aura un mois et demi de préparation en plus. On les a vus jouer contre les Italiens, on sait ce qu'ils sont capables de faire. Mais être solide, ce sera important là-bas. Et il faudra évidemment marquer.

Une fois de plus, le duo Henry-Trezeguet n'a pas réussi à marquer...

R.D. : On ne peut pas être totalement satisfaits quand on ne marque pas. C'est un peu gênant. Mais il y a eu des mouvements, ils ont su être au point de fixation, en profondeur ou être remiseurs. C'est un duo à confirmer, c'est intéressant. Mais cette association ne date pas d'aujourd'hui. Elle existait déjà en 98, 99, 2000... Mais c'est une équipe entière qui marque ou ne marque pas. Ça ne concerne pas seulement un ou deux joueurs. Franck (Ribéry) a eu une grosse occasion, David (Trezeguet) aussi. Ce sont les aléas du football. Mais il faut souligner la qualité défensive des Argentins qui, dans derniers gestes défensifs, ont su contrer la passe ou le tir.

Qu'avez-vous pensé de la charnière centrale Squillaci-Escudé ?

R.D. : Je suis globalement satisfait. Ils n'ont pas été beaucoup mis en difficulté mais ils ont réussi à s'en sortir contre des attaquants de haut niveau. Même dans la relance, c'était pas mal. Mais c'est un ensemble. C'est plus facile pour les défenseurs centraux lorsque les milieux défendent bien et que les attaquants se replacent. Le bloc a été solide. Je pense que ça été une des satisfactions de ce match, c'est sûr.

Pourquoi avoir remplacé Willy Sagnol et Florent Malouda à la pause ?

R.D. : Willy était un peu touché. Il a pris un coup. Il avait mal à l'épaule, mal au genou... un peu partout. Et Flo joue beaucoup de matches et je voulais voir d'autres possibilités. C'est bien aussi de voir d'autres joueurs.

Source : eurosport.fr

Les Bleus doivent gagner ce match pour conforter leur place de leader de leur groupe !!

Le groupe :

Gardiens : Grégory Coupet, Sébastien Frey, Mickaël Landreau
Défenseurs : Eric Abidal, François Clerc, Julien Escudé, William Gallas, Bakari Sagna, Sébastien Squillaci, Lilian Thuram
Milieux : Vasiriki Abou Diaby, Alou Diarra, Lassana Diarra, Claude Makelele, Florent Malouda, Samir Nasri, Franck Ribéry, Jérémy Toulalan
Attaquants : Nicolas Anelka, Karim Benzema, Jimmy Briand, Djibril Cissé, Sidney Govou

aaaaaaaaaaaaaaaaaa LOOOOOOOOOOOOOOOLLLLLLL

allez l'Ukraine !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

))))

https://closed.forumactif.com/profile.forum?mode=viewprofile&u=106

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
les bois!!!!!!!!!!!! on a perdu!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

j'en etais sur!!!!!!!!!!!!!!!!

Hé, hé !!

2 à 0 pour les Bleus !
Grégory Coupet a passé une échographie qui a révélé une petite élongation du muscle oblique de la paroi abdominale gauche nécessitant un repos de quinze jours.
Apparement, 2 cm...

Landreau (PSG) sera donc dans les cages françaises pour le France-Géorgie de demain !