alain fondateur


Number of posts : 23518 Localisation : Dompierre sur Veyle ,France Registration date : 2005-04-19
 | Subject: Moudjahidine du peuple Wed 21 Nov - 19:52 | |
| j'avais fait ça le lendemain  http://dumenieu.free.fr/vrml/iraklite/brasavhud.wrl juin 2003 .. pffff maintenant , il n'y a même plus de droit d'asile en France , de toute façon , c'est expulsions à tout va  ps : les "Moudjahidine du peuple " ce sont les Guy Moquëts iraniens - Quote :
Provocation au suicide:
deux Iraniens relaxés Le tribunal correctionnel de Paris a relaxé mercredi deux Iraniens poursuivis pour "provocation au suicide" à la suite du décès d'une opposante au régime des mollahs qui s'était immolée, en compagnie de deux autres personnes, en juin 2003 devant le siège de la DST où étaient interrogés des membres de l'Organisation des Moudjahidine du peuple d'Iran (OMPI).
L'accusation avait requis deux ans avec sursis à l'encontre de Mahmoud Aalami, 55 ans, et Hossein Amini Gholipour, 51 ans, estimant que les deux hommes avaient incité les trois victimes à s'immoler.
Dans ses attendus, le tribunal a souligné que "rien ne vient démontrer que la volonté de suicide de la victime n'était pas libre ou tout au moins aussi libre que celle des victimes survivantes qui ont toutes revendiqué cette liberté et écarté une quelconque influence (...) et encore moins une provocation au suicide de la part des deux prévenus".
La petite centaine de sympathisants présents devant la salle d'audience a accueilli la décision par des cris de joie, les deux personnes relaxées se voyant offrir plusieurs bouquets des roses.
Saleh Radjavi, frère de Massoud Radjavi, leader de l'OMPI, a lu aux journalistes une déclaration de Mariam Radjavi, figure charismatique du Conseil national de résistance iranienne (CNRI) en France, qui estime que cette relaxe est "une victoire de la justice, de l'humanité et de la résistance".
La défense des deux Iraniens avait soutenu que l'immolation de trois sympathisants -une femme décédée, deux blessés- était un "acte personnel". Les deux hommes étaient poursuivis pour avoir fourni à la victime, Sedighe Redjavi, le bidon d'essence lui ayant servi à mettre le feu. Ils ont été filmés le 18 juin 2003 dans une station-service proche du siège de la DST (Direction de la surveillance du territoire) en train d'acheter un jerrycan vide et du carburant.
Le tribunal a considéré que la notion de provocation au suicide suppose un lien qui se noue entre la victime et celui qui l'incite à l'acte suicidaire et que ce lien n'est pas établi ni démontré en l'espèce.
Les deux hommes encouraient jusqu'à trois ans d'emprisonnement et 45.000 euros d'amende. Le parquet a la possibilité de faire appel de cette décision. AP | |
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