Recluses, Perceval, Fred Vargas

"La recluse", de Fred Vargas avait été cité dans nos échanges non encore publiés.

Mon amie Suzette (qui viendra peu-être ici) m'a dit
".. à mon avis bien meilleur, de
Carole Martinez : "Du domaine des Murmures". ..
C'est une histoire qui se passe au moyen-âge, quand certaines femmes faisaient ce choix, quelque part pour être... libres.
Impressionnant."



J'avais oublié et ou pas vraiment connu je crois, cette histoire des recluses.
J'ai cherché:

http://etudesbourbonnaises.over-blog.com/2020/12/spiritualite-medievale-mention-d-une-erecluse-a-gannat-au-xve-siecle.html













https://utpictura18.univ-amu.fr/GenerateurNotice.php?numnotice=A3047




http://revel.unice.fr/loxias/index.html/index.html?id=95

https://fr.wikisource.org/wiki/Le_Saint_Graal/08

https://www.sites.univ-rennes2.fr/celam/cetm/combarieu/QSG.htm

Auparavant, vu mon manque de connaissance sur le sujet, j'avais tout de suite pensé à ce que je connais bien:
Ernest Pignon-Ernest.
Mais ce n'est sans doute pas la même aventure.
https://pignon-ernest.com/wp-content/uploads/2015/03/ernest-pignon-extase.jpg

velter wrote:

« Dans les années 90, lors de ses collages dans les rues de Naples, un vers de Nerval l’a mené à un dialogue très libre avec les grandes mystiques : Marie-Madeleine, Hildegarde de Bingen, Angèle de Foligno, Catherine de Sienne, Thérèse d’Avila, Marie de l’Incarnation et Madame Guyon.
Pour qui a toujours fait du corps l’objet et le sujet de ses explorations, la rencontre autour d’une thématique de cette nature relève autant d’une quête que d’un défi.Comment représenter ce qui ne peut se voir ?
Comment faire image de chairs qui aspirent à se désincarner ? Comment capter les traces, les effets, les lumières, les ombres, les soupirs ou les cris d’expériences ineffables ? Comment restituer par des traits de tels transports, de tels excès, de telles effractions sublimées ? »

André Velter (in Extases, Éditions Gallimard)

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https://www.persee.fr/doc/jds_0021-8103_1988_num_3_1_1517